logiciels_libres_connaissances_ouvertes_et_cultures_libres
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logiciels_libres_connaissances_ouvertes_et_cultures_libres [2018/10/20 09:29] – serge | logiciels_libres_connaissances_ouvertes_et_cultures_libres [2019/02/11 15:39] – [Mises en application] serge | ||
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En 1943, le président d’IBM, Thomas WATSON, déclarait « Je pense qu'il y a un marché mondial pour environ 5 ordinateurs. », | En 1943, le président d’IBM, Thomas WATSON, déclarait « Je pense qu'il y a un marché mondial pour environ 5 ordinateurs. », | ||
- | {{:eniac4.png? | + | {{ eniac4.png? |
* Une "Her Story" avec la place des femmes dans la programmation de l' | * Une "Her Story" avec la place des femmes dans la programmation de l' | ||
- | {{:BRL61-IBM_1401.jpg? | + | {{ BRL61-IBM_1401.jpg? |
Il était économiquement rationnel que les logiciels soient fournis gratuitement ou à bas coût, sous une forme qui en permette la modification (c’est-à-dire avec le code source). Ils étaient considérés « comme une forme de garniture offerte par les fabricants pour donner plus de saveur à leurs coûteux systèmes informatiques » . La gratuité et l’ouverture favorisaient les améliorations techniques et ne représentaient pas véritablement de manque à gagner en l’absence d’une industrie du logiciel autonome. Dans une économie de l’informatique reposant sur la vente de hardware et sur un système de distribution centralisé, | Il était économiquement rationnel que les logiciels soient fournis gratuitement ou à bas coût, sous une forme qui en permette la modification (c’est-à-dire avec le code source). Ils étaient considérés « comme une forme de garniture offerte par les fabricants pour donner plus de saveur à leurs coûteux systèmes informatiques » . La gratuité et l’ouverture favorisaient les améliorations techniques et ne représentaient pas véritablement de manque à gagner en l’absence d’une industrie du logiciel autonome. Dans une économie de l’informatique reposant sur la vente de hardware et sur un système de distribution centralisé, | ||
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Richard M. Stallman avait découvert le laboratoire d’intelligence artificielle (AI Lab) du MIT en 1971, alors qu’il était encore étudiant en physique à l’université voisine d’Harvard. Il y avait été conduit par son goût pour l’informatique, | Richard M. Stallman avait découvert le laboratoire d’intelligence artificielle (AI Lab) du MIT en 1971, alors qu’il était encore étudiant en physique à l’université voisine d’Harvard. Il y avait été conduit par son goût pour l’informatique, | ||
- | {{ RichardStallman.jpeg? | + | {{ RichardStallman.jpeg? |
En parallèle à l’écriture de lignes de code, Richard Stallman ne cessait de défendre l’ouverture de tous les logiciels et ordinateurs utilisés au sein du laboratoire. Il lutta notamment contre l’introduction de mots de passe, que de nombreux enseignants du MIT (notamment au sein du laboratoire concurrent, le Laboratory for Computer Science) se mirent à défendre à la fin des années 1970. Suite à l’installation en 1977 d’un tel système de sécurité, Richard Stallman contre-attaqua conformément à la tradition hacker de l’action directe. Il modifia le code source du système, de sorte que le message suivant apparaisse dès qu’un utilisateur entrait son mot de passe : « Je vois que vous avez choisi le mot de passe “x”. Je vous suggère d’utiliser le mot de passe “Entrée”. Plus facile à taper, il démontre le caractère illusoire des mots de passe et de la sécurité ». Bien qu’elle connût pendant un temps un certain succès, la campagne de Richard Stallman fut finalement mise en échec : en 1980, tous les ordinateurs du MIT avaient été munis de systèmes de sécurité. | En parallèle à l’écriture de lignes de code, Richard Stallman ne cessait de défendre l’ouverture de tous les logiciels et ordinateurs utilisés au sein du laboratoire. Il lutta notamment contre l’introduction de mots de passe, que de nombreux enseignants du MIT (notamment au sein du laboratoire concurrent, le Laboratory for Computer Science) se mirent à défendre à la fin des années 1970. Suite à l’installation en 1977 d’un tel système de sécurité, Richard Stallman contre-attaqua conformément à la tradition hacker de l’action directe. Il modifia le code source du système, de sorte que le message suivant apparaisse dès qu’un utilisateur entrait son mot de passe : « Je vois que vous avez choisi le mot de passe “x”. Je vous suggère d’utiliser le mot de passe “Entrée”. Plus facile à taper, il démontre le caractère illusoire des mots de passe et de la sécurité ». Bien qu’elle connût pendant un temps un certain succès, la campagne de Richard Stallman fut finalement mise en échec : en 1980, tous les ordinateurs du MIT avaient été munis de systèmes de sécurité. | ||
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Dans la suite du message, le programmeur du AI Lab présentait ses nombreux mérites, et précisait un peu le projet. Celui-ci était empreint de l’esprit hacker, comme en témoignait le nom choisi, acronyme typique de l’humour des informaticiens du MIT. Il était surtout extrêmement ambitieux, pour ne pas dire déraisonnable. Richard Stallman projetait en effet d’écrire un nouveau système d’exploitation en partant quasiment de zéro, afin d’en faire une alternative crédible à Unix, qui était à l’époque un système tout à fait accompli. Pour développer le projet GNU, il décida de quitter le MIT et fonda avec quelques amis hackers la Free Software Foundation ([[http:// | Dans la suite du message, le programmeur du AI Lab présentait ses nombreux mérites, et précisait un peu le projet. Celui-ci était empreint de l’esprit hacker, comme en témoignait le nom choisi, acronyme typique de l’humour des informaticiens du MIT. Il était surtout extrêmement ambitieux, pour ne pas dire déraisonnable. Richard Stallman projetait en effet d’écrire un nouveau système d’exploitation en partant quasiment de zéro, afin d’en faire une alternative crédible à Unix, qui était à l’époque un système tout à fait accompli. Pour développer le projet GNU, il décida de quitter le MIT et fonda avec quelques amis hackers la Free Software Foundation ([[http:// | ||
- | {{ fsfwebsite.png? | + | {{ fsfwebsite.png? |
=== Le copyleft : le meilleur hack de Richard Stallman === | === Le copyleft : le meilleur hack de Richard Stallman === | ||
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Un programme est un logiciel libre s'il donne toutes ces libertés aux utilisateurs de manière adéquate. Dans le cas contraire, il est non libre. Bien que nous puissions faire une distinction entre différents schémas de distribution non libres, en quantifiant ce qui leur manque pour être libres, nous les considérons tous comme équivalents dans leur manque d' | Un programme est un logiciel libre s'il donne toutes ces libertés aux utilisateurs de manière adéquate. Dans le cas contraire, il est non libre. Bien que nous puissions faire une distinction entre différents schémas de distribution non libres, en quantifiant ce qui leur manque pour être libres, nous les considérons tous comme équivalents dans leur manque d' | ||
- | {{ 1052px-Carte_conceptuelle_du_logiciel_libre.svg.png? | + | {{ 1052px-Carte_conceptuelle_du_logiciel_libre.svg.png? |
==== Pourquoi le libre est-il différent de l’open source ? ==== | ==== Pourquoi le libre est-il différent de l’open source ? ==== | ||
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Au début de l’année 1998, de nombreuses entreprises informatiques demeuraient malgré tout réticentes à s’engager dans le logiciel libre. Elles étaient notamment rebutées par l’appellation free software, spontanément associée à une idée de gratuité peu favorable aux affaires. C’est pour tenter de mettre fin à ces ambiguïtés et favoriser la pénétration du logiciel libre dans le monde de l’entreprise, | Au début de l’année 1998, de nombreuses entreprises informatiques demeuraient malgré tout réticentes à s’engager dans le logiciel libre. Elles étaient notamment rebutées par l’appellation free software, spontanément associée à une idée de gratuité peu favorable aux affaires. C’est pour tenter de mettre fin à ces ambiguïtés et favoriser la pénétration du logiciel libre dans le monde de l’entreprise, | ||
- | {{ 710px-Classification_des_licences.svg.png? | + | {{ 710px-Classification_des_licences.svg.png? |
Ce clivage s’institutionnalisa en 1998, avec la création par Eric Raymond et Bruce Perens de l’Open Source Initiative (OSI). Cette nouvelle organisation se présentait à bien des égards comme la rivale de la Free Software Foundation. L’OSI commença ainsi à délivrer le label « OSI approved » aux logiciels dont les licences satisfaisaient aux critères de l’open source, moins restrictifs et injonctifs que ceux du free software. Les divergences portaient notamment sur le principe du copyleft. Quand la Free Software Foundation défendait celui-ci, c’est-à-dire prônait l’obligation d’offrir les mêmes libertés aux utilisateurs de toutes les versions dérivées d’un logiciel libre, l’Open Source Initiative se contentait de permettre que les logiciels dérivés soient soumis aux mêmes conditions. Il s’agissait d’une nuance importante. Le succès de l’approche open source fut concomitant à la croissance fulgurante des entreprises de nouvelles technologies et au gonflement de la bulle Internet. | Ce clivage s’institutionnalisa en 1998, avec la création par Eric Raymond et Bruce Perens de l’Open Source Initiative (OSI). Cette nouvelle organisation se présentait à bien des égards comme la rivale de la Free Software Foundation. L’OSI commença ainsi à délivrer le label « OSI approved » aux logiciels dont les licences satisfaisaient aux critères de l’open source, moins restrictifs et injonctifs que ceux du free software. Les divergences portaient notamment sur le principe du copyleft. Quand la Free Software Foundation défendait celui-ci, c’est-à-dire prônait l’obligation d’offrir les mêmes libertés aux utilisateurs de toutes les versions dérivées d’un logiciel libre, l’Open Source Initiative se contentait de permettre que les logiciels dérivés soient soumis aux mêmes conditions. Il s’agissait d’une nuance importante. Le succès de l’approche open source fut concomitant à la croissance fulgurante des entreprises de nouvelles technologies et au gonflement de la bulle Internet. | ||
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Depuis la première licence libre GPL de Richard Stallman et l’avènement de l’« open source » plus permissif, de nombreuses licences ont été créées pour répondre à des projets et besoins spécifiques, | Depuis la première licence libre GPL de Richard Stallman et l’avènement de l’« open source » plus permissif, de nombreuses licences ont été créées pour répondre à des projets et besoins spécifiques, | ||
- | {{ LicenceslibresetopensourceR.png? | + | {{ LicenceslibresetopensourceR.png? |
Pour utiliser une licence libre dans un projet informatique ou pour une production littéraire et artistique (sous licence Creative Commons par exemple, comme évoqué ci-après), rien du plus simple : il suffit d’associer au projet un court texte qui mentionne le ou les auteurs, le fait que ce projet est placé sous licence GPL v3 par exemple, et d’indiquer l’adresse web où l’on peut retrouver le texte intégral de la licence, voir à ce titre https:// | Pour utiliser une licence libre dans un projet informatique ou pour une production littéraire et artistique (sous licence Creative Commons par exemple, comme évoqué ci-après), rien du plus simple : il suffit d’associer au projet un court texte qui mentionne le ou les auteurs, le fait que ce projet est placé sous licence GPL v3 par exemple, et d’indiquer l’adresse web où l’on peut retrouver le texte intégral de la licence, voir à ce titre https:// | ||
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La combinaison de ces 4 critères produit 6 licences type qui permettent à l’auteur de donner plus ou moins de libertés aux personnes qui souhaiteraient ré-utiliser sa création. http:// | La combinaison de ces 4 critères produit 6 licences type qui permettent à l’auteur de donner plus ou moins de libertés aux personnes qui souhaiteraient ré-utiliser sa création. http:// | ||
- | {{370px-Creative_commons_license_spectrum_fr.svg.png? | + | {{ 370px-Creative_commons_license_spectrum_fr.svg.png? |
A titre d’exemple, | A titre d’exemple, | ||
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* Voir les éléments du droit moral et du droit patrimonial https:// | * Voir les éléments du droit moral et du droit patrimonial https:// | ||
- | {{:Code propriete intellectuelle Fr2.png? | + | {{ Code propriete intellectuelle Fr2.png?330 |fig: |
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+ | {{ Open-source-hardware-logo.svg.png? | ||
Donc comme on l’a vu, ce qui est du ressort de la propriété littéraire et artistique (programme informatique, | Donc comme on l’a vu, ce qui est du ressort de la propriété littéraire et artistique (programme informatique, | ||
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Parmi les grandes réussites dans le domaine du matériel libre, on peut évoquer le microcontrôleur Arduino qui permet, de façon autonome ou branché à un ordinateur, de gérer des capteurs, des actionneurs et bien d’autres choses encore en y adjoignant des greffons (des « shields ») pour ajouter une connexion WIFI ou GSM, un GPS, des contrôleurs de moteurs, … Créée à l’origine dans des buts pédagogiques, | Parmi les grandes réussites dans le domaine du matériel libre, on peut évoquer le microcontrôleur Arduino qui permet, de façon autonome ou branché à un ordinateur, de gérer des capteurs, des actionneurs et bien d’autres choses encore en y adjoignant des greffons (des « shields ») pour ajouter une connexion WIFI ou GSM, un GPS, des contrôleurs de moteurs, … Créée à l’origine dans des buts pédagogiques, | ||
- | {{ Arduino_Uno_-_R3.jpg? | + | {{ Arduino_Uno_-_R3.jpg? |
- | {{ 480px-Reprap Darwin.jpg? | + | {{ 480px-Reprap Darwin.jpg? |
* La Généalogie RepRap : http:// | * La Généalogie RepRap : http:// | ||
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* Gathering for Open Science Hardware http:// | * Gathering for Open Science Hardware http:// | ||
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- | {{ Tilly_sRGB-3.jpg? | + | {{ Tilly_sRGB-3.jpg? |
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==== La culture du libre s’immisce dans de nombreux autres domaines de la société ==== | ==== La culture du libre s’immisce dans de nombreux autres domaines de la société ==== | ||
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A partir de l’émergence de la première licence libre, ce mouvement a connu de nombreuses évolutions, | A partir de l’émergence de la première licence libre, ce mouvement a connu de nombreuses évolutions, | ||
- | {{ Peha-Banquet-CC-By-1920.jpg? | + | {{ Peha-Banquet-CC-By-1920.jpg? |
- | {{ Carte2016-animation.gif|Les services proposés par Framasoft }} | + | {{ Carte2016-animation.gif?400 |Les services proposés par Framasoft }} |
- | {{ rgpdinfographie.jpeg? | + | {{ rgpdinfographie.jpeg? |
* Conférence Framasoft [[https:// | * Conférence Framasoft [[https:// | ||
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Le libre s’est également transposé aujourd’hui aux données, avec **le mouvement « open data »** qui consiste à publier de façon ouverte et structurée des jeux de données issues des institutions publiques ou du secteur privés dans toute une diversité de domaines : données du cadastre, données géographiques et sociales, transport, consommation d’énergie, | Le libre s’est également transposé aujourd’hui aux données, avec **le mouvement « open data »** qui consiste à publier de façon ouverte et structurée des jeux de données issues des institutions publiques ou du secteur privés dans toute une diversité de domaines : données du cadastre, données géographiques et sociales, transport, consommation d’énergie, | ||
- | {{ TableauLicenceV2.png? | + | {{ TableauLicenceV2.png? |
* https:// | * https:// | ||
* Les données ouvertes regroupées par l' | * Les données ouvertes regroupées par l' | ||
- | {{ DataLove.png? | + | {{ DataLove.png? |
+ | |||
+ | {{ youtube> | ||
=== Gouvernance ouverte === | === Gouvernance ouverte === | ||
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Toujours dans la dynamique du libre, **un mouvement international se regroupe sous l’appellation « open government »** ou de gouvernance ouverte. Ce mouvement promeut l’idée qu’il faut ouvrir la gouvernance des institutions publiques aux citoyens en leur donnant les moyens à la fois de connaître les éléments constitutifs des politiques publiques (enjeux, budgets, …) et aussi de pouvoir participer à la décision publique. C’est donc une envie de transparence et de mise en débat et en partage des décisions politiques qui conduirait à placer les élus plus comme des animateurs du débat public que comme décisionnaires. De nombreuses initiatives existent dans le monde, qui s’appuient sur des plateformes en ligne et des réunions « in real life » pour orchestrer l’attribution d’un budget participatif, | Toujours dans la dynamique du libre, **un mouvement international se regroupe sous l’appellation « open government »** ou de gouvernance ouverte. Ce mouvement promeut l’idée qu’il faut ouvrir la gouvernance des institutions publiques aux citoyens en leur donnant les moyens à la fois de connaître les éléments constitutifs des politiques publiques (enjeux, budgets, …) et aussi de pouvoir participer à la décision publique. C’est donc une envie de transparence et de mise en débat et en partage des décisions politiques qui conduirait à placer les élus plus comme des animateurs du débat public que comme décisionnaires. De nombreuses initiatives existent dans le monde, qui s’appuient sur des plateformes en ligne et des réunions « in real life » pour orchestrer l’attribution d’un budget participatif, | ||
- | {{ 1024px-Democratie Ouverte.jpg? | + | {{ 1024px-Democratie Ouverte.jpg? |
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+ | {{ Decidim.png?400 |fig:Projet Decidim }} | ||
* La plateforme Decidim https:// | * La plateforme Decidim https:// | ||
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* L' | * L' | ||
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* Marketing politique : Démocra-ciblée - #DATAGUEULE 68 | * Marketing politique : Démocra-ciblée - #DATAGUEULE 68 | ||
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=== Le libre aujourd’hui, | === Le libre aujourd’hui, | ||
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===== Mises en application ===== | ===== Mises en application ===== | ||
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logiciels_libres_connaissances_ouvertes_et_cultures_libres.txt · Dernière modification : 2023/12/15 11:12 de Benjamin Labomedia